"Nez à nez avec un cercueil"
Dans la pénombre d'une morgue oubliée, le silence pèse. Face à ce cercueil abandonné, on ressent la fine frontière entre exploration et recueillement.
Dans la pénombre d'une morgue oubliée, le silence pèse. Face à ce cercueil abandonné, on ressent la fine frontière entre exploration et recueillement.
Scène surréaliste dans une nef délabrée : une vache solitaire erre parmi les colonnes effondrées, témoin paisible d’un sanctuaire retourné à la nature.
Massif et rouillé, il marque l’entrée d’un autre monde. Chaque fissure du métal raconte une époque révolue, figée dans l’attente d’un dernier passage.
Des pierres tombales émergent du sol sacré, recouvertes de poussière et d’oubli. Le silence est pesant, comme si les âmes elles-mêmes veillaient encore.
Les murs cèdent sous l’assaut végétal. Les ronces grimpent, s’emparent des vitraux brisés, comme si la nature reprenait ce que l’homme avait volé au silence.
Une grille rouillée bloque l’accès à une salle oubliée. On devine des ombres, des secrets figés dans le noir, protégés par ces barreaux d’un autre temps.